
Réunie début juillet à Agen, l’Assemblée générale élective de la Mutualité Française de Lot-et-Garonne a marqué un tournant pour l’organisme. Les 60 délégués représentant les groupements de mutuelles et unions locales ont désigné Stéphane Giorgi comme nouveau président. À l’issue de cette élection, un nouveau Bureau a également été constitué, réunissant notamment Maryse Prabis-Pinsolle en tant que vice-présidente, Jean-Christophe Noblet comme secrétaire général, Josiane Thouille en qualité de secrétaire adjointe et Didier Pelosato-Metz au poste de trésorier général.
Cette assemblée a permis de présenter les rapports moral et financier, ainsi que les conclusions du comité d’audit et du commissaire aux comptes. L’occasion également de dresser le bilan des activités 2024 et de mettre en avant « les nombreux projets de développement et les actions mises en œuvre par les directeurs de filière et les collaborateurs », précisent-ils.
Au service de la santé et de la solidarité

La Mutualité Française de Lot-et-Garonne, qui compte près de 200 mutuelles adhérentes représentant environ 200 000 personnes dans le département, se revendique fidèle à ses valeurs fondatrices : solidarité, responsabilité, liberté, démocratie et non-lucrativité. L’Union territoriale emploie aujourd’hui 100 salariés répartis sur plusieurs sites : Agen, Bias, Montayral, Marmande, Nérac, le Passage d’Agen, Tonneins et Villeneuve-sur-Lot, et gère des établissements de santé dans six domaines d’activité : optique, audition, dentaire, résidence autonomie, centre de santé infirmier et SSIAD (Service de soins infirmiers à domicile).
Depuis plusieurs années, l’organisation développe les Services de Soins et d’Accompagnement Mutualistes (SSAM), ouverts à tous et destinés à garantir un accès aux soins de qualité à un coût maîtrisé. « Bien avant le 100% santé, l’accès aux soins a toujours été une préoccupation constante de la Mutualité Française du Lot-et-Garonne », rappelle la structure, qui poursuit sa mission en proposant des tarifs modérés et en agissant pour réguler les prix des prestations de santé sur le territoire.
Laisser un commentaire