Agen : l’association La Mèche organise sa quatrième friperie solidaire

L’association féministe La Mèche, basée à Agen, organise le 29 juin sa quatrième friperie solidaire sur la place Jasmin. De 9 heures à 18 heures, cet événement convivial vise à promouvoir la seconde main tout en récoltant des fonds pour financer diverses actions.

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Sensibilisation sur les réseaux sociaux, création d’une bibliothèque queer et féministe, organisation d’afterworks, d’apéros et de goûters… Depuis sa création en 2021, l’association féministe La Mèche organise de nombreuses actions tout au long de l’année. Et le 29 juin prochain, c’est le retour de la grande friperie solidaire de l’association, de 9 heures à 18 heures, sur la place Jasmin. Un moment solidaire et convivial qui permet de promouvoir la seconde main, de proposer un grand nombre de vêtements à petit prix, mais aussi d’aider l’association à récolter des fonds. « Notre association a pour but principal de faire de la sensibilisation à travers différentes actions comme la création et la tenue de stands, la création de lien social et l’organisation de moments conviviaux et féministes comme les afterworks par exemple », décrit Charlotte Bru, coprésidente de l’association. « Pour cette friperie, l’objectif est de lutter contre la précarité économique qui touche particulièrement les femmes et les minorités de genre, tout en s’inscrivant dans une démarche écologique. »

Trois points de collecte dans Agen

Cette année, l’association peut s’appuyer sur trois points de collecte dans Agen : la boutique Elouiz, rue Molinier, Histoire de café, sous les Cornières et le bar La Belle Pinte, situé avenue Michel-Serres. Un fonctionnement plus simple pour les membres de l’association, auparavant elles donnaient rendez-vous au cas par cas aux donateurs. Désormais, il suffit juste de passer en ville. « Nous prenons tous types de vêtements, hommes, femmes ou enfants. Il faut seulement qu’ils soient propres, qu’il n’y ait pas de taches et qu’ils ne soient pas troués », explique Charlotte Bru. « Cet événement est crucial car, sans subventions, il nous permet de lever des fonds pour l’association, explique la coprésidente. Grâce à ces fonds, nous pouvons ensuite financer des activités telles que l’impression de supports de communication pour nos événements, l’organisation d’afterworks féministes, les dispositifs de lieux refuges ou encore la mise en place de notre site internet. »
L’an passé, l’association avait pu collecter 1000€. Et si à la fin de la journée il reste des vêtements, rien n’est perdu ! Les pièces restantes seront données à l’AFDAS de Bon-Encontre.

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