Les Lot-et-Garonnaises de PoppyBeach sur M6 pour « Qui veut être mon associé ? »

Elisabeth et Marie-Sophie Tauzin, créatrices du PoppyBeach, ont participé à la troisième saison de « Qui veut être mon associé » sur M6. Elles ont dû convaincre cinq investisseurs de mettre de l’argent dans leur projet. Diffusion le 8 février prochain.

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L’émission est un carton d’audience. Depuis le 4 janvier dernier, la troisième saison de « Qui veut être mon associé ? » est diffusée tous les mercredis sur M6 et pour la première fois, on pourra y découvrir une entreprise lot-et-garonnaise. Le 8 février prochain, les Casteljalousaines de PoppyBeach auront en effet l’honneur de défendre leur produit devant cinq investisseurs réputés dans le monde des affaires : Jean-Pierre Nadir, Isabèle Chevalier, Marc Simoncini, Eric Larchevêque et Anthony Bourbon. L’objectif est ainsi de convaincre ces entrepreneurs à investir dans ce projet qui, pour rappel, est un support facilitant l’installation d’un parasol dans le sable ou des galets et, surtout, de le maintenir au sol malgré des rafales de vent.

« On avait candidaté il y a près d’un an, sans vraiment de conviction ni de certitudes, révèlent Elisabeth et Marie-Sophie Tauzin. Nous ne connaissions pas l’émission, mais des membres de notre famille la suivent assidûment. Ils nous ont conseillé de nous inscrire. Nous avons alors regardé plusieurs extraits et avons pu voir que c’est un beau programme, très positif et qui correspond beaucoup à nos valeurs. » Les entrepreneuses ont alors franchi toutes les étapes de sélection avant d’avoir la confirmation au mois d’août, de leur passage dans l’émission. Le tournage s’est quant à lui déroulé le 5 septembre dernier.

Les montagnes russes des émotions

« Avant d’entrer sur le plateau, face aux investisseurs, nous avons un peu vécu les montagnes russes du côté des émotions, se souviennent-elles. Nous étions partagées entre le stress, la joie mais aussi la chance d’être là. On sait que, quoiqu’il arrive, cette émission va changer le cours de notre aventure. Il y avait de la pression et un réel enjeu. » Mais l’angoisse s’est vite dissipée, au moment de rencontrer les investisseurs, qui découvraient alors leur projet. « Ils sont d’une telle bienveillance que ça passe tout seul. Notre passage a duré 45 minutes mais on ne les a pas vu passer. Il faut dire aussi qu’on ne voyait pas les caméras donc ça sert aussi à nous mettre à l’aise. »

S’il faudra bien évidemment attendre le 8 février prochain pour savoir si les investisseurs ont répondu, ou non, aux demandes des entrepreneuses, celles-ci savourent déjà. « Sans parler de l’issue de l’émission, notre passage a déjà un gros impact pour nous. Tout s’est déroulé dans une ambiance particulière. C’était une conversation avec beaucoup d’échanges. Ces investisseurs connaissent les problématiques que nous avons pu rencontrer. Ils sont là pour nous aider, nous accompagner. Toutes leurs remarques ont été pertinentes. Cette émission permet de mettre en valeur le courage des entrepreneurs. »

Elisabeth et Marie-Sophie Tauzin sur le plateau de « Qui veut être mon associé ? » (crédit photo : Satisfy – M6)

« Qui veut être mon associé ? », un carton d’audience

Si les deux premières saisons de « Qui veut être mon associé ? », diffusées en 2020 et 2022, ont rencontré un véritable succès, cette troisième mouture, produite par Satisfy (ndlr, société de production d’Arthur), s’inscrit dans la même lignée. Depuis le 4 janvier, trois émissions ont déjà été diffusées. Régulièrement leaders sur toutes les cibles d’audience, elles ont réunies en moyenne 1,8 millions de téléspectateurs, pour des pics pouvant atteindre 2,2 millions. Idem pour la deuxième partie, diffusée à partir de 23h10, où la moyenne atteint cette fois-ci 1,3 millions avec un plus gros pic à 1,9 millions.

Selon les entrepreneuses, le succès de l’émission repose sur son caractère pédagogique. Elle permet en effet de comprendre les rouages des levées de fonds, de manière très accessible. « C’est une émission qui plaît beaucoup aux jeunes et on trouve ça chouette, appuient les deux sœurs. Si ça peut leur donner envie de se lancer, c’est vraiment positif. Tous les conseils qui sont livrés à chaque passage, ça ressemble presque à une masterclass pour quelqu’un qui voudrait se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. »

Au total, près de 1,7 M€ a déjà été investi sur les trois premières émissions, soit une moyenne de 590 000 € par épisode.

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