Un rendez-vous qui n’a pas été manqué. Ce vendredi 13 octobre se tenait le premier salon des collectivités et des maires du Lot-et-Garonne à Agen Agora organisé par l’association des Maires de Lot-et-Garonne (AdM47). Un événement qui se révélait très attendu par les élus locaux et dont la réussite en est la preuve avec plus de 1000 visiteurs sur la journée. « On pensait accueillir 500 visiteurs et finalement, on a enregistré plus de 1000 personnes, c’était assez inattendu », explique l’organisation du salon. Ce salon, conçu avant tout comme un moment d’échange, a ainsi permis aux 319 maires du département mais aussi aux agents territoriaux et personnels des collectivités de venir à la rencontre de nombreux partenaires, qu’ils soient privés ou institutionnels. « On est vraiment très contents de cette première édition. On a choisi de décliner ce qu’il se faisait déjà à Paris et de faire ce carrefour territorial avec des exposants, des conférences et une vingtaine d’ateliers sur la journée qui ont bien trouvé leur public.
Une cinquantaine d’exposants
« C’est un très chouette salon, beaucoup de gens viennent nous voir, des gens qui ne seraient pas forcément venus nous rencontrer autrement », saluaient-on vendredi du côté de nombre d’exposants. Fournisseurs d’énergie, services de l’état comme la préfecture, la gendarmerie, les pompiers, entreprises du BTP, assureurs, services de transport comme Keolis, chambres consulaires, tourisme, au total une cinquantaine d’exposants s’étaient donnés rendez-vous sur le salon. « Les pompiers et la gendarmerie par exemple ont eu des visiteurs toute la journée, avec de nombreuses questions, et en étaient très contents », poursuivent les organisateurs. Si le salon était ouvert au public, une Assemblée Générale ordinaire : « Être Maire à l’heure des réseaux sociaux » était réservé aux élus sur un sujet particulièrement attendu à l’heure où chaque jour ils sont un peu plus confrontés à de l’agressivité sur les réseaux sociaux. « A l’occasion de cette assemblée, les élus ont pu avoir des solutions pratiques, mais aussi la réaffirmation qu’il ne fallait rien laisser passer. » Si les organisateurs sont encore en phase d’évaluation de cette première édition, l’envie de lancer une deuxième édition est déjà là.
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