L’entreprise AC2i Bet amène ses collaborateurs sur les traces du passé d’Agen

Le spécialiste de l'aménagement a convié ses collaborateurs à une visite patrimoniale d'Agen, afin d'en apprendre davantage sur l'histoire de la ville et s'inspirer pour des projets futurs.

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Spécialisée dans l’aménagement du cadre de vie, l’entreprise AC2i Bet est installée depuis plus de quinze ans en Lot-et-Garonne, collaborant régulièrement avec les communes. Elle a notamment oeuvré sur des grands chantiers de réhabilitation mais aussi des projets patrimoniaux d’ampleur à l’instar de la rénovation du château de Bonaguil. « Nous sommes de plus en plus sensibles à prendre en compte le passé, les traditions et le patrimoine d’une ville quand nous participons à un réaménagement », souligne le co-gérant Yannick Le Moal, depuis peu à la tête de l’entreprise avec Nicolas Bevilacqua. Pour aller plus loin, ils ont décidé d’organiser une visite patrimoniale d’Agen, où se trouvent leurs locaux, afin de connaître l’histoire de la ville plus en détail, comprendre l’évolution et s’imprégner des particularités que l’on retrouve sur certaines places et bâtisses emblématiques. « C’est en plus, l’occasion de passer un bon moment en équipe hors de nos bureaux », ajoute-t-il.

La ville passée au crible

Dix collaborateurs ont donc passé un après-midi à déambuler en centre-ville, menés par un guide bien connu localement, Jean-Luc Moreno, archéologue et passionné d’histoire locale travaillant pour l’office de tourisme Destination Agen. « Je suis habitué aux visites de groupe, notamment en période touristique. Cela m’arrive de faire des visites pour des entreprises, c’est le cas aujourd’hui. L’objectif est de s’adapter à la cible et à toutes les attentes. » La cathédrale, la mairie, le musée, les Cornières ou encore le boulevard piéton ont ainsi été passés au crible, suscitant curiosité et interrogations multiples. « On souhaite reproduire ce genre d’initiative dans d’autres villes, à l’architecture bien différente, pour piocher là encore des idées. Cela pourra être plus loin que nos frontières, à Nantes ou Angers par exemple », ajoute Yannick Le Moal, ravi de cette première.

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