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Toujours dans le but de venir en soutien de la filière, face à des demandes de dépistage de plus en plus importantes, l’Agence Régionale de Santé organise une nouvelle opération durant tout le week-end au Stadium à Agen, samedi 5 et dimanche 6 février de 10h à 16h. Toujours en collaboration avec la Préfecture de Lot-et-Garonne, l’Agglo d’Agen et le SDIS 47, le centre sera accessible pour tous gratuitement et sans rendez-vous. Attention à ne pas oublier sa carte vitale, qu’il faudra présenter à son arrivée. Pour les habitants de l’Albret, une opération est aussi prévue à Nérac, au centre de vaccination, samedi 5 de 8h30 à 16h45 et dimanche 6 de 8h30 à 12h30, cette fois avec et sans rendez-vous.
42 600 personnes concernées par la suppression de leur pass au 15 février
En Lot-et-Garonne comme sur le reste du territoire, la situation épidémique est toujours défavorable. Le taux d’incidence dans le département est à nouveau en progression cette semaine (3655 pour 100 000 habitants en population générale, soit +13% en 7 jours), tandis qu’on recense en moyenne 12 nouvelles personnes en hospitalisation au 3 février. Point positif, les soins critiques sont épargnés par de nouvelles admissions. Enfin, 83 clusters sont actuellement gérés par l’ARS, dont 30 en Ehpad et 28 au sein d’établissements médico-sociaux. Joris Jonon, directeur départemental de l’ARS, a mis en avant une échéance particulière, celle du 15 février, où toutes les personnes n’ayant pas reçu leur dose de rappel verront leur pass vaccinal supprimé. « Nous estimons à plus de 42 600 le nombre de personnes concernées. Les centres de vaccination sont capables de monter à 20 000 injections par semaine, des créneaux sont disponibles dès à présent. »
Par ailleurs, une nouvelle opération de vaccination « aller vers » aura lieu le 13 février à Laroque-Timbaud.
Une centaine de classes fermées
En milieu scolaire, « la situation est toujours dégradée », constate Patrice Lemoine, directeur des services de l’Education nationale dans le département. Au total, 109 classes étaient fermées au 2 février, faute de trouver des remplaçants pour pallier l’absence de professeurs. « Beaucoup d’enseignants ont des enfants touchés par le Covid, et sont donc contraints de rester à domicile. Cela va nous amener encore certaines difficultés. Comme pour l’ensemble des activités, il nous tarde que cette vague s’arrête, pour retrouver une activité normale… »
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