Comment devenir un meilleur manager grâce à Semer & Grandir

Damien Lambert, le créateur de Semer & Grandir, propose des formations cousues main pour accompagner des dirigeants, qu’ils soient cadres ou chefs d’entreprise, à devenir de meilleurs managers.

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Pour qu’une entreprise soit performante, il faut bien sûr de bons produits ou services mais aussi, et peut-être surtout, une bonne équipe ! C’est cette conviction qui anime Damien Lambert depuis longtemps maintenant. Fort de plus de 15 ans d’activité dans le monde de l’industrie, il a décidé de mettre son expérience au profit des autres en lançant son propre projet en février 2018. « Avec Semer & Grandir, j’interviens auprès du tissu économique sous diverses formes, toujours en gravitant autour de cette thématique du management. On peut apprendre à devenir un meilleur manager », affirme cet expert. Réussir à déléguer, savoir s’il faut se montrer plus participatif ou plus directif, fixer des objectifs, formuler une critique… Les questions sont nombreuses pour celles et ceux qui ont des équipes de collaborateurs à encadrer. Questions auxquelles Damien Lambert peut apporter des solutions.

Pas de réponses toutes faites

« Je n’arrive pas avec des réponses toutes faites, prévient-il. Les formations que je propose ne sont pas dogmatiques. Le but est au contraire de se nourrir de plusieurs philosophies et de découvrir d’autres courants de pensée afin de sortir du schéma hiérarchique traditionnel, le fameux « command and control » de Taylor qui prédomine encore de nos jours », explique le fondateur de Semer & Grandir. Les conseils distillés dépassent largement le cadre théorique. « Ma priorité est de pouvoir apporter du concret, avec des principes applicables dans l’heure qui suit une séance. » C’est pourquoi chaque formation est « cousue main », en fonction des besoins du client. Avant même de démarrer le programme, Damien prend le temps de rencontrer chaque participant (et ses éventuels supérieurs hiérarchiques) pour comprendre leurs raisons et leurs objectifs, de façon à adapter judicieusement le contenu.

Un programme sur le temps long

Une fois entré dans le vif du sujet, il est temps de… prendre son temps. « Je privilégie toujours les parcours longs. La durée moyenne est de six mois et je pense que c’est nécessaire si l’on veut pouvoir faire bouger les choses », estime le formateur. Chaque séance s’écoule sur une demi-journée, avec une récurrence toutes les deux à trois semaines. « Lors de chacune d’elles, on découvre des notions et des outils que l’on met en pratique dans la foulée. La fois d’après, on peut ainsi débriefer, voir ce qui fonctionne, et réagir pour lever des freins et blocages. » Cette recette a déjà séduit de nombreuses entreprises, qu’il s’agisse de TPE-PME ou de structures bien plus importantes.

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